Est-ce que j’ai toujours été heureuse professionnellement ? Pas complètement! Et pourquoi? Et bien je vais vous faire une confidence: parce que j’avais la trouille et que je me faisais toute une montagne de changer de vie professionnelle.

Liste de peurs

Je vais vous faire une deuxième confidence: je ne suis pas unique ! Avoir peur ? Je sais que c’est le cas de beaucoup de personnes qui aspirent à s’épanouir et c’est peut-être même votre cas…  Peur de quitter une entreprise que je connais pour me lancer complètement dans les accompagnements, le coaching. Peur de quitter des collègues que j’apprécie et même ceux que je n’apprécie pas, et oui il y en a 😉 Peur d’avoir passé l’âge. Peur de ne pas réussir dans cette nouvelle activité. Peur de ne pas être capable. Peur de gagner moins d’argent Peur de me retrouver à la rue. Peur du regard des autres et de leur jugement « Mais pour qui se prend-elle ? ». Peur de perdre mon statut social. Peur de l’investissement personnel que nécessite un nouveau départ, en temps, en énergie. Peur de ne pas avoir les épaules assez larges. Peur d’avoir à refaire mes preuves. Peur de ne pas être engagée dans une nouvelle société, car trop jeune, trop vieille, pas assez expérimentée sur son domaine.

Oui je vous l’accorde, la liste est assez longue, et le pire est qu’elle n’est pas exhaustive… Je vais vous faire une troisième confidence, la peur déforme la réalité. Quand on se laisse embarquer par la trouille, cela nous empêche d’avancer. Que ce soit sur le plan personnel ou professionnel, le résultat est le même: la paralysie.

La peur comme un moteur

Partant du postulat que de toute façon le pire est toujours à venir, pourquoi ne pas se lancer et tenter d’apprivoiser ses peurs. Le meilleur antidote pour cela c’est l’action, et cela passe par la préparation, et vous verrez que tout (ou presque) est possible.
Le seul risque que vous prenez à affronter vos peurs c’est de dégonfler leur intensité et de vous mettre en mouvement. Pas d’acte héroïque mais juste, commencer par dessiner le scénario catastrophe et le confronter de façon pragmatique à la réalité et mesurer le degré de risque à prendre.
Je (me) dis souvent « Ok, mais qu’est ce qui pourrait se passer, au pire, du pire, du pire ? ».
Si je dois changer de train de vie, comment vivre avec moins d’argent ? Solution : Je peux m’acheter moins de paires de chaussures. Est-ce que c’est grave ? Non parce que j’ai une cinquantaine de paires dans mon placard que je ne mets jamais.
Si je dois affronter les quolibets, que vais-je répondre ? Solution : Rien. Comme dirait ma mère, «ça leur passera, avant que cela ne me reprenne ».

Et ainsi de suite, descendre la liste pour voir ses différentes options, car à chaque problème il y a toujours une solution, cela peut paraître simpliste dit comme ça mais c’est vrai.

En conclusion

Alors #MêmePasPeur et #AffrontonsNosPeursEnsemble

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